Le 2 août 2017, Le Canard enchaîné révèle que Michel Mercier a employé des membres de sa famille comme assistantes parlementaires, dont l’une de ses filles, installée à Londres, rémunérée 2 000 € par mois entre 2012 et 2014. Les enquêteurs s’intéressent également à son épouse, collaboratrice entre 1995 et 2009. Les sommes indûment perçues et non prescrites atteindraient 450 000 €, dont 37 158 € pour Delphine Mercier et 84 525 € pour Joëlle Mercier.