Thierry Solère est mis en examen pour plusieurs chefs d’accusation qui impliquent notamment des soupçons:
– de fraude fiscale pour près de 200 000 euros
– d’emploi fictif de sa belle mère à l’Assemblée Nationale
– d’utilisation d’une partie de ses frais de mandats à des fins personnelles
– d’avoir utilisé sa position d’élu pour favoriser des entreprises pour lesquelles il travaillait en tant que consultant en parallèle