Thérèse Aillaud est mise en cause pour des détournements de fonds publics. Selon l’enquête, trois associations paramunicipales auraient encaissé, entre 1986 et 1994, les recettes publicitaires du journal municipal, soit plus de 2,3 millions de francs. Ces structures auraient en outre réglé près de 456 000 francs de dépenses personnelles de l’élue et lui auraient consenti deux prêts.